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Au delà de l'image.
4 octobre 2006

Réfléxion teintée de fatigue.

DA1Après une discussion intéressante on en est venus à la conclusion que se rattacher à ses souvenirs revenait à s'enterrer.
En effet il faut savoir accepter que les choses changent, évoluent aussi bien positivement que négativement, après tout nous n'y sommes pas pour grand chose, ou alors nous avons raté un train.

Admettre que le passé est différent du présent est chose difficile en effet nous ne voulons pas croire que le sol se dérobe sous nos pieds et que nous perdons le contrôle de cette 'habitude'. On se rattache au passé, on se persuade que tout va changer, que l'on va repartir comme au départ.

Si on est au point de ce constat je crois que l'on ne peut plus faire machine arrière. Il faut savoir trancher et avancer.
L'immobilité n'aide en rien, elle aliène, elle tiraille, elle déchire.

Il n'est pas simple de faire un pas en avant quand le passé vous tient la main, toutefois parfois il faut lacher prise.

Le temps est un facteur essentiel, oui, mais au final il ne change pas grand chose...

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Commentaires
C
j'ai mis du temps a apprendre a vivre au present.<br /> On vit soit dans l'anticipation incessante d'un futur qui n'arrive jamais, soit dans une brume intemporelle de souvenirs magnifiés, re-écrit, idéal ou les roses n'avaient pas d'épines.<br /> <br /> Le plus dur, c'est de vivre la, et maintenant, la seconde qui passe, avec les sensations uniques du présent. Habiter l'instant et notre ercorps et ses sensations immédiates, détaché de toute notion de valeur autre que la sensualité du sang qui circule dans nos veines.<br /> Tout le reste n'est rien, chiméres, sirenes, sphynx, chronophages divers qui nous éloignent de notre seul bien, la vie.
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